Jeune Afrique : Journalisme de propagande et de chantage au service de la France

Jeune Afrique manque d’éthique et de déontologie journalistique, sacrifiant ces principes pour servir ses intérêts économiques et ceux de la France. Depuis six décennies, ce média, au même titre que RFI ou France 24, est un outil d’influence au service de la politique française en Afrique. Selon les critiques, la plus part des Chefs d’Etat, il participe même à des opérations d’espionnage et de manipulation de l’opinion publique.

De plus, Jeune Afrique a bâti sa prospérité en adoptant systématiquement des positions alignées sur celles de la France. Les chefs d’État africains ayant soutenu les intérêts français sur le continent ont toujours bénéficié d’un traitement médiatique favorable, tandis que ceux en rupture avec l’ancienne puissance coloniale sont systématiquement vilipendés. Mediapart, un journal d’investigation reconnu, affirme d’ailleurs que Jeune Afrique fait partie des réseaux Foccart, avec pour mission de discréditer et d’attaquer principalement les dirigeants de l’Afrique subsaharienne.

Il est intéressant de noter que, depuis sa création, Jeune Afrique n’a jamais qualifié un chef d’État arabe de dictateur ou de criminel, malgré les réalités politiques de certains pays de la région. Cette différence de traitement soulève des interrogations sur une éventuelle partialité du média et sur une focalisation excessive sur les dirigeants d’Afrique noire.

Selon Mediapart, Jeune Afrique ne se contente pas de simples attaques médiatiques : des pratiques telles que le chantage, l’escroquerie et l’espionnage ont également été employées. Ainsi, avant même sa mise en kiosque, chaque édition du journal est d’abord soumise aux chefs d’État ou aux hommes politiques concernés, leur laissant potentiellement la possibilité d’influencer son contenu.

Aujourd’hui, privé de contrats de communication lucratifs au Mali, au Burkina Faso et au Niger en raison du rejet de ces pays envers certaines influences extérieures, Jeune Afrique aintensifié sa campagne de dénigrement à l’égard des dirigeants de l’Alliance des États du Sahel (AES). À travers des articles aux titres sensationnalistes, le journal tente d’influencer l’opinion publique dans ces pays. Fait troublant : alors que les articles sur les présidents africains étaient auparavant réservés aux abonnés, ils sont désormais accessibles gratuitement aux habitants de la zone AES. Pourquoi ce revirement soudain ? Une simple stratégie médiatique ou une volonté plus insidieuse d’orienter le débat public ?

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